À lire: pp. 170 à 182 1/3, 185 à 194 1/2, 198 à 199 (figures seulement), 202 2/3 à 203 4/5, 209 2/3 à 210 1/2, 228 à 228 2/3, 230 à 232 4/5, 235 3/4 à 238 2/3, 251 3/4 à 252 2/3.
- Caractéristiques de la représentation des nombres entiers à complément 2:
- Autres représentations possibles:
- Débordement en cas d'addition (complément 2):
- Soustraction (complément 2):
- Opérations permettant de manipuler des bits individuels ou des groupes de bits à l'intérieur d'un mot:
Encodage: utilisent le champ shamt (shift amount) de l'instruction (bits 6 à 10) pour indiquer le nombre de bits à décaler (0 à 31).
- Les quatres (4) blocs de base pour la construction de circuits:
- Additionneur complet à 1 bit:
Cf. figure distribuée en classe.
- Additionneur à 32 bits à propagation de retenue:
Cf. Fig. 4.16 (p. 197) et 4.17 (p. 198) du livre de Hennessy & Patterson.
- Signification des signaux d'entrée pour l'UAL:
- Mise en oeuvre d'une instruction de branchement: Utilise le
signal Zéro, qui indique si le résultat de l'UAL est zéro
ou non. Pour le test, on réalise une soustraction (a = b \
a-b = 0) ce qui active le signal Zéro.
- Dans le cas du produit de deux (2) nombres de 32 bits, 64 bits sont requis pour résultat.
- Sur MIPS, le résultat d'une multiplication est conservé dans les registres Hi et Lo. Les instruction mfhi (move from high) et mflo (move from low) sont ensuite utilisées pour transférer ces résultats dans un registre ordinaire.
- La multiplication de deux nombres requiert plusieurs itérations (via additions répétées). Le nombre de cycles machine nécessaires à l'exécution d'une multiplication est donc plus grand que pour une addition.
- Utilise le même matériel que pour la multiplication mais l'algorithme est encore plus complexe (restauration lorsque le bit associé du quotient est 0). Une division est donc plus longue qu'une multiplication.
- Représentation d'un nombre flottant (norme IEEE754):
- Opérations sur les nombres flottants: Une addition de deux
nombres flottants requiert plusieurs étapes: décalage, addition,
normalisation du résultat, arrondissement Les opérations
arithmétiques flottantes sont donc beaucoup plus coûteuses que les
opérations entières.